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C’est un film né de la persévérance et d’un rêve mûri depuis des années. Aujourd’hui, grâce à la collaboration avec ESIMBI STUDIOS et SonyZZY, ,ce rêve devient réalité. Ensemble, nous voulons transmettre un message fort : la détermination et le travail ouvrent toutes les portes, même lorsque tout semble impossible.
À Brazzaville, Talia, jeune rappeuse portée par la foi et hantée par le mystère entourant la disparition de son père, rêve de s’émanciper et d’imposer sa voix. Entre pression du quotidien, ambitions artistiques et secrets familiaux, elle doit choisir jusqu’où aller pour devenir l’artiste et la femme qu’elle souhaite être.
Mais une chose est sûre : ce film réservera de nombreuses surprises. Je ne promets pas la présence de grands artistes, car il s’agit encore du début d’une histoire que je veux saine, naturelle et authentique. RAP UNTIL THE END pose les fondations d’un univers, et si le public répond présent, une suite pourra voir le jour. À ce moment-là, j’aimerais ouvrir la porte à des artistes qui me parlent, des talents d’ici, du Congo-Brazzaville, pour continuer à faire grandir ce projet en restant fidèle à nos racines.
Dans ce film, je proposerai des plans très profonds, un ton volontairement sombre, ainsi qu’une musique originale fortement inspirée du rap. Chaque image, chaque son, chaque silence portera une émotion, un message, une intention. J’espère de tout cœur que ce travail plaira au public congolais et à toute l’Afrique, car l’objectif est clair : que ce film traverse les frontières, qu’il parle à tous, qu’il résonne bien au-delà de Brazzaville.
RAP UNTIL THE END n’est pas seulement un film : c’est un mouvement, une voix qui se lève, une énergie qui commence à se répandre. Et ce n’est que le début.
Ce film est un miroir tendu à la jeunesse congolaise et urbaine : un récit d’émancipation, de courage et de vérité. À travers Talia, je veux montrer comment l’art le rap en particulier devient un espace de résistance, de guérison et d’expression.
Visuellement, le film sera réaliste et intime :
les rues, les maisons modestes, les studios improvisés… des lieux qui racontent la force de ceux que l’on ne voit pas, mais qui se battent chaque jour. Je veux une caméra proche, humaine, qui écoute et accompagne Talia dans ses combats comme dans ses victoires.
Le film mettra en lumière de jeunes talents congolais aux côtés d’artistes confirmés, capables d’incarner avec force l’âme de RAP UNTIL THE END. C’est aussi l’occasion de célébrer notre scène culturelle et de montrer la richesse artistique du Congo.
RAP UNTIL THE END fera partie de mes projets prévus pour 2026. Malgré mon emploi du temps chargé, ce film reste une mission : porter une histoire forte, authentique, et profondément humaine.
Les projecteurs s’allument et Paris retient son souffle : l’édition 2025 du Festival L’Afrique Fait Son Cinéma dévoile une sélection officielle d’une richesse exceptionnelle.
Treize œuvres, treize visions, treize récits qui traversent les continents pour raconter l’humain sous toutes ses formes.
Du frisson au rire, du drame à l’introspection, cette édition s’annonce déjà comme l’une des plus marquantes.
Mais cette année, un symbole fort s’ajoute :
Le Congo entre sur la scène internationale avec un film puissant : Léa, réalisé par moi (Joy Christ) et produit par Tina Lobondi.
Le festival ouvre les portes d’un univers où la peur, l’urgence et le suspense sont rois.
Parmi les œuvres qui font palpiter le public :
The Devil’s Seed (Tunisie) – porté par la légendaire Mouna Noureddine, un voyage glaçant qui s’annonce comme un choc émotionnel.
Dead Man’s Wish (Cameroun)
Silent Storm et Silence Mortel – deux œuvres mystérieuses qui promettent des révélations explosives.
Gazoua doit mourir – un thriller à la tension insoutenable.
Ici, la peur n’est pas qu’un genre : c’est une expérience.
Le cinéma africain sait raconter nos blessures, nos espoirs et nos contradictions.
Cette édition le prouve une nouvelle fois :
Sans Jugement (Cameroun), porté par la présence intense d’Alain Bomo Bomo.
Les Fractures Invisibles (France), un regard cru sur les cicatrices silencieuses.
Le Cœur des Hommes (Gabon), une réflexion sur la masculinité moderne.
Father (Angleterre) et Diya (Tchad), qui explorent l’héritage, la famille, la transmission.
Des films qui interrogent, qui bousculent et qui nous obligent à regarder en face ce que nous sommes.
Le destin des femmes brille au cœur de cette sélection :
Les Invertueuses (Burkina Faso), sublimé par la performance de Serge Henry.
Et surtout…
Léa (Congo) Mon dernier film (Joy Christ) , coproduit avec Tina Lobondi, qui illumine le festival par sa sensibilité, sa force et son urgence sociale.
À côté de ces récits puissants, l’humour vient libérer le public grâce à Marabout Chéri (Côte d’Ivoire) un cocktail de satire et d’énergie avec Kadhy Touré, Kader Gadji et l’incontournable Michel Bohiri.
Pour célébrer cette édition, le rideau se lève avec une œuvre magistrale signée Marie-Hélène Roux.
Avec un casting d’exception :
Isaach de Bankolé, immense dans la peau du Dr Denis Mukwege
Vincent Macaigne, dans le rôle du Dr Guy Cadière
Déborah Lukumuena, César du meilleur second rôle
Manon Bresch
Une ouverture digne d’un festival qui se veut ambitieux, exigeant et profondément engagé.
Il fallait le dire haut et fort :
Une sélection réputée pour sa rigueur extrême.
Une sélection qui ne laisse passer que l’excellence.
C’est une victoire pour le cinéma congolais.
C’est un message puissant envoyé au monde.
Le film, porté par ma vision et soutenu par Tina Lobondi, montre que même avec des équipes jeunes, déterminées, enracinées dans la culture CG, nous pouvons atteindre les sommets internationaux.
Peu osent raconter nos douleurs, nos luttes, nos vérités.
Rendez-vous à Paris
Du 10 au 20 décembre 2025, à l’EICAR Paris, le monde entier aura les yeux tournés vers l’Afrique, vers nos récits, vers nos voix et vers le Congo.
Comme je le dit chez nous…Ce n’est jamais fini.
Vivement le cinéma CG. 🎬
Dans un pays où chaque film est souvent le fruit d’un combat, il est essentiel de rappeler que le cinéma congolais ne se résume pas à quelques noms, aussi prestigieux soient-ils.
Notre histoire cinématographique est riche, complexe, portée par des générations de réalisateurs, techniciens, comédiens et producteurs qui, chacun à leur manière, ont contribué à bâtir cette mémoire visuelle du Congo.
Récemment, un documentaire consacré au cinéma congolais a suscité ma curiosité . Non pas à cause de sa qualité ou de son intention, mais parce qu’il ne mentionnerait que deux réalisateurs depuis l’indépendance du Congo en 1960.
Une approche qui, même si elle n’est sans doute pas malveillante, soulève une question fondamentale :
Le cinéma, c’est avant tout une mémoire collective, une succession de regards et de sensibilités. Certains réalisateurs ont marqué les débuts, d’autres ont ouvert des voies nouvelles avec courage et passion, souvent sans moyens, mais avec beaucoup de foi et de créativité.
Ignorer leur contribution, c’est risquer de réécrire partiellement notre histoire.
Je tiens à préciser une chose : je ne cherche pas à être cité, ni à m’opposer à qui que ce soit.
Mon objectif n’est pas de polémiquer, mais de partager une vérité qui nous concerne tous.
Que mon nom soit mentionné ou non m’importe peu, mais les autres réalisateurs, eux, méritent d’être reconnus.
Je ne suis pas “ami-ami” avec tout le monde, mais je respecte profondément chaque personne qui se bat pour ce métier.
D’ailleurs, ma boîte de production avait déjà pris contact avec plusieurs réalisateurs congolais.
Le moment venu, nous réécrirons ensemble cette histoire, avec le bon stylo et la bonne encre, pour faire rayonner ce domaine rempli de guerriers que je respecte énormément.
Des hommes et des femmes qui, dans l’ombre ou sous les projecteurs, ont fait vivre et grandir le cinéma congolais.
Il ne s’agit pas ici de pointer du doigt, mais de rappeler une évidence : dans chaque pays, la reconnaissance culturelle doit être inclusive.
Lorsqu’un documentaire, un article ou un projet de recherche parle de cinéma, il doit s’efforcer de montrer la diversité des parcours, des styles et des générations. C’est ainsi que le public, les jeunes cinéastes et le monde entier peuvent découvrir la richesse réelle du Congo à travers ses images.
En tant qu’acteur du secteur, je crois profondément que le respect du travail des autres est la base d’une industrie forte.
Chacun mérite d’être vu, entendu et soutenu. Et c’est ensemble que nous devons valoriser nos créateurs, au lieu de laisser quelques noms représenter un tout.
Le Congo a du talent. Le Congo a des cinéastes.
Et il est temps que chacun d’eux trouve sa place dans la grande histoire du cinéma national.
Le cinéma congolais appartient à tous ceux qui le font vivre
J’aime les challenges, et ce projet en était un vrai. Le programme est riche, audacieux, plein de nouvelles idées et de très gros projets.
Cette année a été exceptionnelle pour le cinéma CG. Nous avons réussi à servir le public congolais avec des histoires fortes, des émotions vraies et des productions de qualité. Voir à quel point les spectateurs apprécient notre travail me pousse à aller encore plus loin.
Le cinéma congolais est en train de grandir, de se structurer, et d’inspirer toute une nouvelle génération de créateurs. Et je suis fier d’y contribuer à ma manière.
Les castings de cette année m’ont particulièrement marqué. Nous avons découvert de nouveaux visages, des talents bruts, de véritables pépites prêtes à briller. Je suis très heureux de cette diversité et de la passion que j’ai vue sur le terrain.
Tout est désormais prêt et bouclé. Nous entrons dans une nouvelle phase : celle du réveil, de la révélation. Les sorties de mes prochains projets se feront de manière successive, avec une approche originale et un concept totalement nouveau
Je ne peux pas tout dévoiler pour le moment, mais le plan est énorme. Ce qui arrive va, je l’espère, surprendre et inspirer. Je crois profondément en la force de nos histoires, de nos talents et de notre culture.
Vivement le cinéma congolais. Vivement le cinéma CG.
Ce jeudi, j’ai eu le plaisir d’assister à une journée portes ouvertes dédiée au cinéma congolais, un rendez-vous riche en échanges, découvertes et débats autour du septième art.
Mais s’il y a bien un moment qui m’a marqué, c’est la projection du film du réalisateur Jeansly louk une dinguerie avec son Matoko de la cité
J’avais déjà eu le plaisir de rencontrer Jean il y a quelque temps, lors d’une réunion avec la directrice de Canal+ International à Brazzaville. Nous avions longuement échangé sur sa vision du cinéma et sur le film qu’il préparait alors.
Ce jeudi, j’ai enfin eu le privilège de découvrir ce projet dont il m’avait parlé
Le réalisateur a osé là où peu de cinéastes congolais osent aller. Il a pris des risques, assumé un style fort et livré un film profond, émouvant et sans temps mort. À aucun moment, on ne s’ennuie : tout est juste, vibrant et plein de vérité.
J’ai été captivé par sa mise en scène nerveuse et vivante : la caméra à l’épaule, les mouvements qui épousent ceux des personnages, une approche brute mais sincère qui donne une âme à chaque plan.
Un univers que peu ont su comprendre
Pendant les débats, j’ai été surpris par la légèreté de certains échanges. Beaucoup de cinéastes présents semblaient ne pas avoir saisi la profondeur de l’univers de Jeansly louk.
Certains ont voulu intellectualiser à outrance, parlant de “codes narratifs”. Mais à mon sens, tout film sincère, pensé et ressenti est déjà intelligent.
On a trop entendu parler de “formations”, d’“ateliers”… Pourtant, la vérité, c’est qu’il faut aussi oser faire, créer, se lancer. Beaucoup de ceux qui critiquaient n’ont jamais sorti un film de leur vie et d'expérience de 20 ans patati patata. Et c’est là tout le paradoxe : avant de critiquer, il faut d’abord créer. Fais ton film, et on en reparle.
Un cinéaste à suivre de près
Oui, techniquement, le film n’était pas parfait. Mais avec une vraie équipe et de bons moyens, ce projet pourrait clairement secouer tout le game du cinéma congolais.
Jeansly louk a la vision, le courage et l’énergie qu’il faut. C’est un bosseur, un vrai passionné j'ai sentis le truc.
Personnellement, je le suivrai all day ce film. Et qui sait, peut-être qu’un jour, nos chemins se croiseront sur un projet commun (rire).
En tout cas, je lui tire mon chapeau, à lui et à toute son équipe, pour cette audace et cette authenticité qui manquent cruellement dans notre cinéma.
L’aventure du film LÉA ne cesse de nous surprendre. Après deux projections déjà mémorables, celle de Kinshasa, au Grand Tambour, a marqué un nouveau tournant.
La salle était comble, le public conquis, et l’énergie partagée était simplement incroyable.
Beaucoup ont d’ailleurs cru que le film était d’origine ivoirienne, preuve que LÉA parle à tous les cœurs d’Afrique. Mais à travers notre séance de questions-réponses et notre présentation, ils ont découvert que nous étions leurs voisins, un moment fort d’échange et de fierté partagée.
Cette projection à Kinshasa a été bien plus qu’un simple passage sur grand écran : ce fut une expérience humaine et artistique unique, une rencontre entre cultures, émotions et passion du cinéma.
En parallèle, plusieurs castings sont actuellement en cours. Nous avons un programme ambitieux et de grands projets en préparation.
Je ne peux pas encore en dévoiler les détails, mais croyez-moi : ce qui arrive sera énorme.
Notre mission reste la même : mettre en avant notre art, le faire voyager au-delà des frontières, et l’ancrer durablement là où il n’a encore jamais été.
Avec LÉA, nous avons prouvé qu’il était possible de réaliser l’inédit, de rassembler des partenaires autour d’une même vision, et de porter haut la voix du cinéma africain.
Nous voulons continuer sur cette lancée, aller plus loin, toujours avec la même passion, la même authenticité et cette envie de partager nos histoires avec le monde.
Cette projection à Kinshasa a été bien plus qu’un simple passage sur grand écran : ce fut une expérience humaine et artistique unique, une rencontre entre cultures, émotions et passion du cinéma.
Et comme une belle nouvelle n’arrive jamais seule, le jour même de notre voyage pour Kin, nous apprenions la sélection officielle du film LÉA au Festival “L’Afrique fait son cinéma”.
Une immense joie pour toute l’équipe, et une grande fierté pour notre productrice, dont la réaction pleine d’émotion rappelait à quel point chaque effort, chaque nuit de travail, chaque choix artistique compte.
Voir un projet collectif trouver sa place dans de tels événements est une récompense inestimable.
Je me souviens encore de mon tout premier projet : une mixtape que j’ai réalisée moi-même. Neuf titres que j'ai composés, enregistrés, et qui ont été diffusés sur MNRadio. C'était à l'époque où j’étais en seconde. Mon oncle avait un bureau à la maison, et c’est là que tout a commencé. Il avait installé des logiciels comme FL Studio et Cubase, et des logiciels de montage. À l’époque, je m’amusais sans me rendre compte que j’étais en train de développer quelque chose de bien plus grand.
Ce qui m’a vraiment fait changer de perspective, c’est lorsqu’on a fait un clip avec le rappeur / réalisateur Sopha Scabale de brazzamusic. L’expérience a été catastrophique. Non seulement le clip était nul, mais en plus il avait été payer deux fois plus cher pour un résultat médiocre. À ce moment-là, j'ai décidé qu’il était temps de prendre les choses en main. On a acheté une caméra, et j’ai commencé à réaliser moi-même nos clips. Le premier clip, diffusé sur BBlack TV, a été une véritable dinguerie. C'est à ce moment que tout a changé.
C’est à ce moment que j'ai arrêté de rapper et que je suis devenu réellement réalisateur. On a formé un collectif, et je me suis lancé dans la production en créant ma propre boîte de production : Redline Productions. J’ai produit plusieurs artistes. Le rap et l'afrobeat étaient en pleine ascension à l’époque.
En 2020, j’ai réalisé mon premier long-métrage, "DABIE", écrit par Estelle Ndinga, avec qui j’ai co-produit le film. Ce fut une réussite, puisque nous avons gagné 5 trophées aux Kambas Awards : Meilleur réalisateur, Meilleur film, Meilleur second rôle masculin, Révélation féminine de l'année, et Meilleur scénario. Cependant, à partir de là, l’industrie n’a pas vraiment soutenu ce projet. Personne ne voulait parler de nous. Les émissions disparaissaient mystérieusement. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de prendre les choses en main : j'ai créé mes propres médias et mon site web pour faire la promotion de nos projets TITAN COMPANY et Mytv.
Actuellement, je travaille avec Tina Lobondi, qui est à la fois ma manager et productrice du film Lea. Ensemble, nous avons co-produit ce projet, et je suis convaincu que de nouvelles choses excitantes vont arriver. Tina est une dame très bosseuse, très orientée vers l’objectif, et je suis super reconnaissant de sa confiance, ainsi que de celle de son équipe. Grâce à elle, de nouveaux projets verront bientôt le jour.
Le Groupe Force Suprême : Rappeurs et Ambition
Au lycée, pendant ma première ou terminale, je faisais partie du groupe Force Suprême. On faisait du rap, des concerts, des clips… On se prenait pour des stars, haha ! Ça marchait plutôt bien, mais un jour, j’ai décidé de faire une pause dans le rap. C’est là que j’ai tourné mon regard vers autre chose : la programmation et le multimédia.
De la Télévision à la Réalisation : Mon Expérience à ESTV
Après ma formation , je rentre au pays je travaille directement à ESTV, une chaîne de télévision, où j'ai eu l'opportunité de faire de la réalisation plateau. Ce fut une grosse expérience j'étais réalisateur pendant plus de 5 ans. j'ai eu l'occasion de toucher à beaucoup de choses et de diriger plein de services, J’ai apporté mon savoir-faire, et les choses ont bien fonctionné pendant toutes mes années de service. Un peu plus tard, je suis parti pour passer à autre chose.
Puis, j’ai décidé de m’orienter davantage vers le cinéma, inspiré du cinema US j'ai pris mes marques. Ici au pays j'ai vu des films ave des ga comme Boss Aris, et le mec m’a vraiment impressionné. Il faisait des trucs de ouf, des films, des pubs, des réalisations hors normes. Il y avait aussi Jess Kaidano et Dan Scott. Ces grands noms ont marqué l'histoire du visuel dans notre pays. Ils m'ont poussé à croire que c'était possible de faire des films de grande envergure.
Depuis, j’ai bâti mon propre empire. J’ai traversé des galères, mais je n’ai jamais cessé d'avancer. C’est un rêve devenu réalité aujourd’hui. Et tout cela m’a permis de développer ma propre marque de fabrique dans le domaine cinématographique. Le rêve de faire un film et de le diffuser à l’international est devenu plus proche que jamais.
Aujourd’hui, le cinéma africain prend une toute nouvelle dimension. Comme le dit Boss Aris, ce n’est pas encore le niveau de Nollywood, mais avec plus d’application et de travail, on va réussir à créer des films de qualité qui rivaliseront avec ceux des grandes nations cinématographiques africaines. Au Congo, il y a des réalisateurs d’un talent incroyable, il suffit juste d’un petit coup de pouce, et les choses peuvent aller très loin. Je suis convaincu qu’on peut y arriver.
Le casting du court-métrage est prêt : un projet unique en route !
C’est désormais officiel : le casting de notre prochain court-métrage est bouclé ! Après un processus de sélection long, exigeant mais passionnant, nous avons enfin retenu les profils qui répondaient parfaitement aux exigences du scénario et à la vision du projet. Je peux vous le dire avec conviction : ce casting est taillé sur mesure pour livrer quelque chose d’extraordinaire.
Nous communiquerons prochainement en détail sur les étapes clés du tournage, ainsi que sur l’ensemble de l’organisation autour de ces projets.
Un titre et un thème… encore secrets
Concernant le court-métrage, le titre a déjà été choisi – et croyez-moi, il envoie du lourd ! Mais pour l’instant, je garde ce détail secret. Le thème, lui aussi, est très fort, intense et parfois physique pour certains rôles. C’est un film qui demandera un réel engagement de la part des acteurs et actrices. Mais je n’ai aucun doute : ils et elles sont prêts à relever le défi.
La sélection n’a pas été facile. Le talent, la motivation et l'énergie des candidats nous ont mis face à des choix difficiles. Mais chaque rôle a trouvé son interprète, et je suis convaincu que celles et ceux qui ont été choisis vont tout donner pour porter ce film à un niveau exceptionnel.
Un projet intense… avant un long-métrage encore plus ambitieux
Ce court-métrage marque le début d’un cycle créatif très fort. D’ailleurs, un long-métrage est également en préparation – avec un casting de haut niveau et des scénarios déjà finalisés. Nous sommes actuellement en pleine phase de planification organisationnelle pour les périodes de tournage à venir. Tout est mis en œuvre pour que ces projets soient menés avec rigueur, passion et créativité.
Je suis très heureux de relever ce nouveau défi, et encore plus reconnaissant de la confiance que m'accorde la productrice Tina LOBONDI, ainsi qu'à mon équipe. C’est un projet artistique singulier, humainement fort, et je suis persuadé qu’il marquera un tournant.
À très bientôt pour plus d’infos… et surtout, restez connectés. Ce qui arrive est vraiment spécial.
Ces derniers jours, notre équipe de production a vécu une étape essentielle dans l’avancement de nos projets : les castings. Dans une ambiance à la fois professionnelle et conviviale, les sessions ont permis d’aller à la rencontre de talents bruts, d’artistes confirmés mais aussi de nouvelles figures prometteuses.
Les acteurs présents se sont donnés à fond. Ils ont su exprimer toute leur énergie, leur authenticité et leur passion pour le jeu. Ce fut une première partie de casting ambitieuse, pleine de surprises, où chacun a montré un visage singulier et une approche artistique forte.
Réalisateur / coproducteur
Joy christ
Nous tenons à préciser que la sélection n’a rien d’un classement entre “meilleurs” et “moins bons”. Les acteurs retenus le seront uniquement parce qu’ils correspondaient précisément aux critères artistiques et narratifs exigés par ces projets. C’est une question d’adéquation, de cohérence et de vision, et non de valeur individuelle.
Ces sessions ont révélé de véritables pépites, des visages qui, à coup sûr, marqueront nos films à venir et séduiront le public par leur justesse et leur engagement.
Je souhaite remercier la production pour la confiance accordée à la réalisation de ces deux projets ambitieux qui vont s’enchaîner dans les prochains mois. Toute l’équipe est prête et déterminée à livrer des œuvres de qualité.
Après LEA, qui continue de faire parler d’elle et dont de nouvelles dates à l’international sont prévues, nous sommes persuadés que le public sera ravi de découvrir ce qui se prépare. L’aventure ne fait que commencer, et les surprises seront à la hauteur des attentes.
Productrice / D.A
tina LOBONDI